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Le Cloud plus néfaste pour la planète qu’on le pensait
Un étudiant en technologie environnementale a récemment publié une lettre dans Nature Climate Change pour souligner le manque de transparence sur la pollution due aux activités liées au Cloud.
La taille du marché du Cloud est passée de 6 milliards de dollars en 2008 à 288 milliards de dollars en 2019, d’après les recherches de David Mytton, étudiant en technologie environnementale, à Londres. Ce marché en croissance est notamment attribué aux grands fournisseurs comme Amazon, Google et Microsoft. Or, la transparence sur la pollution liée au Cloud n’est pas optimale.
“Déclarer” ses émissions de gaz à effet de serre
David Mytton explique qu’une organisation peut comptabiliser ses émissions dans trois domaines d’application, selon les lois britanniques. La première application reprend les émissions qui proviennent des activités contrôlées par l’organisation, comme la climatisation de ses locaux. La seconde catégorie concerne les émissions indirectes, celles liées à l’électricité que l’organisation achète. La troisième catégorie concerne toutes les autres émissions indirectes, “telles que l’achat de serveurs et d’autres équipements” explique David Mytton à phys.org.
L’étudiant souligne “il est logique que la plupart des organisations utilisent le cloud“, plutôt que leurs propres centres de données. Mais les émissions de gaz à effet de serre liées au Cloud sont comptabilisées dans la troisième catégorie. Or, les grandes entreprises sont tenues de déclarer les émissions de la première et deuxième catégorie. Mais pas nécessairement les émissions classées dans la troisième. De fait, les émissions liées au Cloud ne sont pas “comptabilisées” publiquement.
Le Cloud reste une solution viable
Pour David Mytton, il est probable que l’utilisation du Cloud soit plus respectueuse de l’environnement qu’un centre de données propre à une entreprise. Il précise également que les grandes entreprises de cloud computing “sont les plus gros acheteurs d’énergies renouvelables et développent des formes informatiques plus efficaces à grande échelle“.
Mais la transparence sur les données est trop négligée. “La plupart des clients du cloud ne peuvent pas accéder aux données nécessaires pour calculer leurs émissions, ou les données ne sont tout simplement pas publiées“, explique David Mytton. Il ajoute “ce n’est pas tant que les affirmations sont discutables, c’est plutôt que nous n’en savons pas assez pour les évaluer“.