- Batterie ordinateur
- ACER ADVENT ALCATEL AMAZON APPLE ASUS AUTEL BAOFENG BBK BENQ BFDX BLACKBERRY BLACKVIEW BLU BOSE BQ CANON CASIO CAT CHUWI CITIZEN CLEVO CMCC COMPAQ COOLPAD CUBOT DELL DJI DOOGEE DOOV DYNABOOK ECOVACS ELEPHONE ETON FANUC FUJIFILM FUJITSU GARMIN GATEWAY GE GETAC GETONG GIGABYTE GIONEE GOOGLE GOPRO HAIER HASEE HBC HILTI HISENSE HOMTOM HONEYWELL HONGJIE HONOR HP HP_COMPAQ HTC HUAWEI HYTERA IBM ICOM INFINIX INFOCUS ITEL JBL JJRC JUMPER JVC K-TOUCH KENWOOD KIRISUN KODAK KONKA KOOBEE KYOCERA LEAGOO LEICA LENOVO LG LOGITECH MAXELL MEDION MEITU MEIZU MICROMAX MICROSOFT MINDRAY MITSUBISHI MJXRIC MOTOROLA MSI NEC NETGEAR NEWLAND NIKON NOKIA OLYMPUS ONEPLUS OPPO OTHER OUKITEL PACKARD_BELL PANASONIC PARROT PAX PENTAX PHILIPS PRESTIGIO QIKU RAZER REALME RTDPART SAMSUNG SANYO SEIKO SHARK SHARP SIEMENS SONY SUNMI SYMA SYMBOL TADIRAN TCL TECNO TOPCON TOSHIBA TP-LINK TRIMBLE TWINHEAD ULEFONE UMI UMIDIGI UNIWILL UROVO VARTA VERTEX VERTU VIVO WEILI WIKO XIAOMI XINNUAN YAESU YUHUIDA ZEBRA ZTE
TOP DES VENTES
Capacité - Tension
ARTICLES RÉCENTS DU BLOG
Test – Rock of Ages 3 : une suite qui manque d’audace
Après deux premiers chapitres, la série des Rock of Ages nous revient avec un troisième volet plus ambitieux, mais également deux fois plus cher que ses ancêtres…
Série à succès du studio chilien ACE, auteur notamment du très atypique Zeno Clash, Rock of Ages a connu un succès croissant ces dernières années. La série a toutefois changé d’éditeur en cours de route, passant des mains d’Atlus à Modus. Un changement d’éditeur qui s’accompagne de nouvelles ambitions et d’une hausse soudaine des tarifs… C’est important de le préciser d’entrée de jeu, ce troisième volet est vendu deux fois plus cher que ses ancêtres – 29,99€ au lieu de 14,99€. Une hausse des prix que le jeu peine toutefois à justifier…
Car dans la pratique, ce Rock of Ages 3 : Make & Break n’apporte pas grand chose de vraiment neuf pas rapport au second volet. Les bases du jeu restent les mêmes. Le gameplay n’évolue en effet que très timidement. On se retrouve donc à nouveau projetés à travers une quête à travers les âges dans laquelle le joueur croisera de nombreux personnages historiques. Bourrées d’humour, les cinématiques du jeu restent dans le ton des précédents volets et se dégustent avec passion. Côté gameplay, on retrouve cet étrange mélange de tower defense un peu raté et de boulder game complètement barré. Le concept est simple : protéger sa forteresse en plaçant toute une série de pièges, créatures et remparts sur le chemin de son adversaire tout en partant à l’assaut de la forteresse ennemie avec son gros rocher.
De façon générale, le gameplay n’a que très peu évolué. On retrouve bien l’une ou l’autre petite nouveauté, mais que ça soit dans sa construction ou sa prise en main, Rock of Ages 3 est pratiquement la copie conforme de son ancêtre.
Alors oui, on s’y amuse plutôt bien. Le jeu est plutôt fun à jouer (surtout entre amis), la prise en main reste simple et le mélange de genres fonctionne toujours, mais tout cela manque cruellement de cet petit élément nouveau qui aurait insufflé à la franchise un nouveau souffle.
D’autant plus que cette suite hérite des mêmes défauts que ses ainés. L’interface de jeu est toujours aussi peu intuitive, la stratégie reste très sommaire dans la construction des défenses, le résultat dépendant plus souvent de la chance que de vos skills, et la prise en main du boulet (littéralement) est toujours aussi pataude.
Le studio chilien tente de justifier la hausse de prix par une réalisation il est vraie très réussie, avec des cinématiques retravaillées et un moteur graphique qui exploite très bien le potentiel des consoles. Côté contenu aussi, le jeu est enrichit d’un nouvel éditeur de niveaux très complet qui permettra à la communauté d’alimenter le jeu en contenus durant des années… Mais encore faut-il vraiment être fan, car aussi fun puisse être le jeu, Rock of Ages 3 est typiquement le genre de jeu qu’on range soigneusement une fois le mode solo terminé, et qu’on ne ressort qu’à l’occasion avec des amis.