On a joué à Assassin’s Creed Odyssey, le blockbuster de cette fin d’année

Annoncé peu avant l’E3, le nouveau titre de la série des Assassin’s Creed, Odyssey, s’est également retrouvé au plus grand salon européen des jeux vidéo : la Gamescom. De passage, nous avons pu tester le jeu pendant plus d’une heure. Premières impressions.

En juin dernier, les plus chanceux avaient pu faire connaissance avec les nouveaux personnages de la saga, Alexio et Kassandra, à Los Angeles. Cette fois localisé en Grèce Antique, le scénario du jeu reprend peu de temps après les événements du précédent titre, Origins. La bande-annonce et les premières images de gameplay présageaient du changement pour la saga des Assassin’s Creed avec une aventure davantage tournée vers les combats au corps à corps et les affrontements brutaux.

Dans l’espace presse d’Ubisoft de la Gamescom, à Cologne, manette Xbox One en main, nous avons pu effectivement constater la brutalité des combats. Un premier contact douloureux puisque notre test nous a transportés à la toute fin du jeu. Sans nous en dévoiler davantage sur l’histoire principale, c’est une quête annexe qui nous a permis de nous faire une première idée de ce nouvel Assassin’s Creed, et de l’introduction de créatures mythologiques dans le jeu…

Au niveau 50, avec les compétences au maximum et des équipements idéaux, s’approprier le personnage – Alexio dans ce cas-ci, s’est avéré complexe. En dehors des déplacements et manœuvres familières, le premier combat s’est révélé mortel – à plusieurs reprises – tant les ennemis étaient féroces et redoutables.

On a tout de même pu admirer quelques nouveautés au niveau des attaques. Exit la lame secrète, Alexio fait appel à des glaives puissants pour affronter ses ennemis. À cela, on peut rajouter les attaques de « transe » plus épiques que précédemment. Une fois la jauge de l’énergie pleine, on pourra user d’une attaque foudroyante qui terrasse les ennemis aux alentours avec des dégâts impressionnants, en tout cas au niveau 50.

Autre point à relever ; l’augmentation de la roue des compétences. Durant les combats, on pourra faire appel à l’une ou l’autre compétence activée, notamment pour récupérer de la vie, désarmer un ennemi ou lui enlever son bouclier ou faire des roulades afin d’éviter les coups puissants des adversaires. Un vrai atout donc.

Nous avons pu également expérimenter les mercenaires légendaires, des personnages qui apparaissent ici et là, par hasard, et qui tentent de nous assassiner. Une surprise de mauvais goût étant donné que ces personnages, à l’instar des Phylakes dans Origins, se montrent véritablement redoutables.

Odyssey reste une claque absolue. Les détails étaient poussés à l’extrême, ainsi que le réalisme. Difficile de ne pas être séduit pas les décors grandioses du jeu, leur profondeur, les multiples détails qui apparaissent à l’écran et la superbe direction artistique. N’ayons pas peur de le dire : Odyssey est l’un des plus beaux jeux que nous ayons vu, et il sera incontestablement l’un des hits de cette fin d’année. Ceux qui ont apprécié le précédent volet ne devraient pas être déçus puisque cette suite s’inscrit dans sa continuité. Les autres passeront sans doute leur chemin…