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Singapour avoue partager les données de son app AntiCovid avec la policeSingapour avoue partager les données de son app AntiCovid avec la police
AntiCovid risque-t-il de devenir une sorte de Big Brother ? Singapour a annoncé lundi 4 janvier 2020 que les données de l'application nationale, bpatisée TraceTogether, pouvaient être partagées avec la police dans le cadre d'enquêtes criminelles. Les autorités avaient pourtant assuré que ces données seraient exclusivement utilisées pour lutter contre le COVID-19.
Sur les réseaux sociaux, les habitants de la cité-Etat de Singapour sont consternés. Lundi 4 janvier 2020 le gouvernement a en effet admis aux parlementaires de Singapour que les données de l'application nationale de contact tracing TraceTogether, utilisée par plus de 80% de la population, pouvaient désormais être utilisées par la police dans le cadre d'enquêtes criminelles.
Le gouvernement avait pourtant assuré, pour mieux faire accepter l'application, que la vie privée serait garantie par de forts dispositifs de chiffrement et que les données de l'application seraient exclusivement utilisées pour lutter contre le COVID-19. Cette dérive qui inquiète ainsi depuis le début les utilisateurs d'autres pays, dont la France, semble ainsi en train de prendre corps à Singapour.
La décision de Singapour provoque colère et désinstallations
“C'est quelque chose que je signalais en fait depuis les premiers jours de TraceTogether”, explique un utilisateur sur Twitter. Et de poursuivre : “on me disait souvent que j'étais parano et que je répandais la peur en sapant la lutte contre le COVID-19. Ça ne fait pas du bien de découvrir que j'ai raison”.
Un autre cité par BBC : “Je pense que la raison pour laquelle la plupart des gens est en colère ce n'est pas le sentiment qu'on les surveille en permanence. On a déjà cela au travers d'autres moyens comme la vidéosurveillance. Non ici c'est plus qu'ils ont le sentiment d'avoir été trompés”.
De nombreux messages appellent à la désinstallation de l'application. Tandis que des ONG, comme Digital Rights Watch, un lanceur d'alerte australien autour des libertés en ligne, se disent “extrêmement inquiets” de la situation à Singapour. La cité-Etat est depuis le début pionnière en matière de lutte contre le COVID-19.
Lire également : AntiCovid – tout ce qu'il faut savoir sur l'application anti-covid
Ce choix difficile à comprendre depuis l'étranger risque de rendre la percée des applications de contact tracing encore plus poussive qu'elle ne l'est à l'heure actuelle. En France, selon les derniers chiffres l'application de contact tracing AntiCovid a été téléchargée 10 millions de fois.