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Valve, Capcom et Bandai écopent de 7,8 millions d’amende pour avoir bloqué des jeux Steam en EuropeValve, Capcom et Bandai écopent de 7,8 millions d’amende pour avoir bloqué des jeux Steam en Europe
La Commission européenne vient d'infliger une lourde amende de 7,8 millions d'euros à Valve, maison-mère de Steam, et à cinq autres éditeurs parmi Capcom ou Bandaï Namco. Ces entreprises sont coupables d'avoir instauré un blocage géographique permettant d'empêcher les ventes transfrontalières des jeux. Une pratique jugée anticoncurrentielle par l'institution européenne.
Valve, Capcom, Bandaï Namco, Focus Home Interactive, Koch Media, et Zenimax (Bethesda) vont devoir sortir le chéquier. Ce mercredi 20 janvier 2021, la Commission européenne a infligé une amende de 7,8 millions d'euros à ces six entreprises connues de l'industrie vidéoludique. Le motif ? Avoir volontairement instauré un système de blocage géographique, pour empêcher la vente des clés de jeu de pays en pays. Ce verdict tombe après sept années d'enquête.
“Valve et les éditeurs ont restreint les ventes transfrontalières de certains jeux vidéo sur PC sur la base de localisation géographique des utilisateurs au sein de l'Espace économique européen, se livrant ainsi à des pratiques dites de blocage géographiques”, assure la Commission européenne.
Elle poursuit : “Les amendes infligées aux éditeurs, d'un montant total de plus de 6 millions d'euros, ont été réduites en raison de la coopération de ces derniers avec la Commission. Valve a choisi de ne pas coopérer avec la Commission et s'est vu infliger une amende de plus de 1,6 million d'euros”, affirme l'institution.
À lire également : Steam – forcé de permettre la revente de jeux dématérialisés, Valve contre-attaque
Pour rappel, l'UE offre un marché unique numérique à tous les citoyens européens. En d'autres termes et vertu du libre-échange, les joueurs sont libres d'acheter leur jeu dans un autre pays que celui dans lequel ils résident, notamment pour profiter de prix plus avantageux. Or, l'instauration de ce blocage géographique, organisé conjointement par Valve et les cinq éditeurs précédemment cités, a “empêché des consommateurs d'activer des jeux vidéo sur PC vendus par les distributeurs des éditeurs, soit sur des supports physiques, comme des DVD, soit par téléchargement, et d'y jouer”, comme le souligne la Commission européenne.
Dans le détail, la Commission reproche donc à Valve et aux cinq éditeurs inculpés d'avoir empêché l'activation dans d'autres pays d'une centaine de jeux provenant de la Tchéquie, de la Pologne, de la Hongrie, de la Roumanie, de la Slovaquie, de la Lettonie et de la Lituanie entre septembre 2010 et octobre 2015.
Notons enfin que Valve a choisi de contester le verdict rendu par la Commission européenne : “Au cours des sept dernières années d'enquête, Valve a pleinement coopéré, fournissant toutes les preuves et informations demandées à la Commission. Nous ne sommes pas d'accord avec ces conclusions, et prévoyons de faire appel de la décision”.