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Test – Killer Queen Black : stratégie et arcade font bon ménage
Huit ans après sa sortie en arcade, Killer Queen Black part à l’assaut des consoles. Avec son concept atypique, ce mélange improbable de jeu de plates-formes et de stratégie avait de quoi séduire les joueurs…
Killer Queen Black prend la forme d’un jeu de stratégie compétitif se jouant par équipe de 4. Les joueurs incarnent soit une reine, soit un travailleur qui se chargera de ramener des baies à son hub ou se transformera en soldat pour repousser les ennemis et attaquer la reine adverse.
Au premier abord, le jeu n’est pas forcément des plus accessibles, malgré son aspect simpliste. Un rapide passage par le tutoriel – présent dans les parties en local – aidera les joueurs à comprendre les tenants et aboutissements du jeu, à maîtriser les commandes et surtout à passer en revue les différentes stratégies pour remporter les victoires.
Nous l’avons dit, dans Killer Queen Black, les joueurs peuvent incarner trois personnages différents et donc, avoir un rôle différent dans l’arène. La reine peut attaquer tout le monde, de même que le soldat. Quant aux travailleurs, ils doivent se contenter des tâches les plus ingrates ; récupérer des baies ou diriger un escargot géant pour le faire passer la ligne d’arrivée de leur camp. Chaque partie peut être gagnée de trois façons différentes ; grâce à l’escargot, grâce aux baies ou en assassinant trois fois la reine adverse.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le jeu demande une bonne dose de stratégie pour décrocher la victoire. Ainsi, si les reines peuvent se traquer entre elles, elles peuvent également viser les soldats ou encore protéger les travailleurs assis sur l’escargot. Pareil pour les soldats qui peuvent cibler la reine, massacrer les soldats ou protéger ses camarades. Pour remporter la partie, les joueurs devront se coordonner. Une équipe unie aura beaucoup plus de chance à remporter la partie. Grâce au chat vocal intégré, il est possible de discuter avec ses coéquipiers de la stratégie à adopter. Il va de soi que Killer Queen Black est un jeu plus fun à jouer entre amis.
Les commandes sont relativement peu nombreuses (sauter, vol, direction, attaques) et à la manette, on ne peut pas dire que ça soit toujours très simple. Diriger notre reine ou notre bon vieux travailleur peut en effet s’avérer compliqué parfois, vu la rigidité des commandes. L’absence de cadre – foncer dans le mur ou tomber dans le vide téléporte le joueur de l’autre côté de l’écran – impose au joueur d’être attentif en permanence à ce qu’il se passe à côté de lui puisqu’une reine ou un soldat peut apparaitre par surprise derrière lui et lui infliger un coup mortel.
Les parties sur Killer Queen Black – qui se gagnent après trois victoires – sont assez intenses et peuvent durer moins d’une minute dans certains cas, ce qui est assez frustrant. La rapidité des parties reste tout de même excitante et pousse le joueur à rester vif et réactif. Il doit parfois changer sa stratégie au cours de la partie pour venir à bout des ennemis. Sur la durée, le jeu parvient à se montrer suffisamment riche pour tenir le joueur scotché à son pad quelques heures. N’espérez toutefois pas y passer plus de 6 ou 7 heures, le concept finissant forcément par lasser.
Les développeurs de chez BumbleGear Games ont conservé une esthétique pixel-art caractéristique des jeux d’arcade d’antan. Le résultat est assez plaisant et devrait plaire aux plus nostalgiques des joueurs. Il n’en reste pas moins que le jeu manque parfois de lisibilité. On a parfois – souvent – du mal à repérer notre personnage lorsqu’on incarne un travailleur, c’est dommage. Les développeurs ont opté pour des arrière-plans plus travaillés, malheureusement les plateformes sont moins visibles ainsi. De plus, les couleurs fluo sont particulièrement criardes ce qui n’est pas forcément très joli. Les décors ne sont pas non plus très recherchés et les cartes limitées à 7 sont assez anecdotiques, mais là encore, cela rappelle les jeux d’arcade.
Enfin, le jeu n’est toujours disponible qu’en anglais. Dans les faits, ce n’est pas dérangeant puisque Killer Queen Black ne propose aucune histoire, dialogue ni rien de ce genre. Pour ce qui est de l’ambiance sonore, elle se résume à des musiques électroniques intenses. On retrouve vraiment l’ambiance borne d’arcade.