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Une université belge se penche sur l’impact des nouvelles technologies sur le langageUne université belge se penche sur l’impact des nouvelles technologies sur le langage
Un nouveau réseau de recherche européen étudie comment les avancées technologiques sont susceptibles de modifier notre communication quotidienne et le langage lui-même, rapporte vendredi l’UCLouvain, l’un de ses membres.
« Dans un futur proche, des lunettes et oreillettes intelligentes seront capables de traduire les mots d’une autre personne et même de donner l’impression qu’elle nous parle dans notre langue », indique l’université. La technologie ne sera ainsi « pas seulement l’intermédiaire de ce que nous entendons et disons en temps réel, elle pourra devenir un partenaire de conversation et aura un impact sur nos façons de communiquer ».
Des chercheurs de 52 pays, dont l’UCLouvain pour la Belgique, se sont réunis dans le réseau « Language in the Human-Machine Era » (LITHME) pour étudier l’impact des avancées technologiques sur notre communication quotidienne et, en définitive, le langage lui-même.
Le projet LITHME a débuté en octobre 2020, est financé par la Coopération Européenne en Science et Technologie et compte des membres des 27 États membres de l’Union européenne et de 25 pays d’autres continents. Le réseau cherche à construire des ponts entre spécialistes du langage et des technologies, « afin que les premiers puissent bénéficier d’une meilleure prospective technologique, et les seconds d’une meilleure compréhension et prise en compte des conséquences linguistiques et sociétales potentielles de ces technologies émergentes ».
Si, selon la chercheuse Fanny Meunier, « ces technologies vont nous apporter de nombreux soutiens langagiers, elles vont aussi nous forcer à nous (re)poser des questions essentielles » afin d’éviter les manipulations et de ne pas mettre de côté « les aspects profondément humains qui ne peuvent pas être ’appris’ aux technologies », tels que l’esprit critique, la nuance ou encore l’empathie.