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81 ONG demandent à la Commission européenne d’interdire le logiciel Pegasus81 ONG demandent à la Commission européenne d’interdire le logiciel Pegasus
86 ONG et experts européens souhaitent suivre l’exemple des États-Unis et placer la société NSO Group, responsable du logiciel espion Pegasus, sur liste noire.
Depuis plusieurs mois, l’affaire Pegasus a mis en difficulté les activités de l’entreprise israélienne NSO Group, responsable du logiciel espion Pegasus. Une enquête menée par un consortium de médias a révélé que des campagnes d’espionnages étaient menées par divers gouvernements à l’aide de l’outil Pegasus. Parmi les personnes ciblées figuraient notamment des journalistes, des opposants politiques et des hommes d’affaires.
Début novembre, le groupe NSO a été placé sur liste noire par les États-Unis. L’administration américaine a estimé que les activités de l’entreprise NSO Group, fabricante du logiciel espion Pegasus, représentaient une menace pour la sécurité nationale et a donc soumis la société à d’importantes restrictions en matière d’exportations et d’importations.
Afin d’appliquer des restrictions similaires vis-à-vis de l’entreprise en Europe, 81 ONG et 5 experts ont demandé dans une lettre ouverte à la Commission européenne de sanctionner NSO Group et d’interdire la vente et l’utilisation de son logiciel espion Pegasus en Europe. La lettre est adressée aux ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne. Parmi les signataires, on peut notamment trouver Amnesty International, Reporters sans frontières et Human Rights Watch.
« L’Union européenne devrait suivre l’exemple des États-Unis, et mettre [l’entreprise israélienne NSO Group] sur sa liste de sanctions et prendre toutes les mesures appropriées pour interdire la vente, le transfert, l’importation, l’exportation et l’utilisation des technologies de NSO Group tant que des mesures appropriées de protection des droits de l’Homme n’ont pas été mises en place », peut-on lire dans la lettre.
« L’UE devrait sans équivoque fermer ses portes aux affaires avec NSO Group », a déclaré Deborah Brown, chercheuse sur les droits numériques et chargée de plaidoyer chez Human Rights Watch. « Des sanctions ciblées sont nécessaires à cette fin, et pour ajouter à la pression internationale croissante contre l’entreprise et l’industrie des logiciels espions hors de contrôle. »