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Le piratage recule en Europe
Entre janvier 2017 et décembre 2020, les internautes ont téléchargé deux fois moins souvent du contenu piraté.
Un rapport sur le piratage en Europe entre janvier 2017 et décembre 2020 vient d’être publié par l’Office de l’Union européenne pour la propriété intellectuelle (EUIPO). Celui-ci indique que la fréquence de consommation de contenus piratés a fortement baissé entre le début et la fin de l’enquête.
L’étude s’est penchée sur les habitudes de consommations des films, des musiques et des programmes télévisés obtenus de façons illégales et qui portent atteinte aux droits d’auteur de leurs créateurs.
L’étude s’appuie sur les données d’accès à des sites web fournissant des contenus piratés dans tous les États membres de l’Union européenne et au Royaume-Uni. Les méthodes d’accès au contenu piraté comprenaient diverses méthodes comme le streaming, le téléchargement, les torrents et les logiciels d’extraction. L’analyse s’appuie sur un ensemble de données comprenant plus de 133 milliards d’accès.
Une diminution constante
Selon les données récoltées, les internautes téléchargeaient en 2017 dans l’Union européenne du contenu piraté en moyenne 11,7 fois par mois. Ce montant n’était plus en 2020 que de 5,9 fois par mois. Il y a donc eu une diminution de 50,4 % du piratage entre janvier 2017 et décembre 2020. La baisse enregistrée a été continue avec une diminution de 20 % en 2018, 6 % en 2019 et 34 % en 2020. Parmi ces 5,9 fois par mois, 4,1 sont consacrées aux programmes télévisés piratés, 1,2 fois pour les films et enfin 0,6 fois pour les musiques.
Le coronavirus a eu un léger impact sur le piratage de films durant le printemps 2020, mais celui-ci s’est rapidement résorbé et la baisse s’est poursuivie durant la pandémie.
Une des raisons pouvant expliquer la diminution des habitudes de piratage est l’explosion des services de streaming légaux comme Netflix, Disney+ ou encore Spotify, qui ont rendu bien plus facile l’accès à du contenu vidéo ou audio.
« Notre rapport sur le piratage numérique montre que, même s’il reste beaucoup à faire pour résoudre les problèmes de piratage et copyright, en particulier dans un monde où le marché numérique est de plus en plus important, nous semblons être sur la bonne voie », conclut Christian Archambeau, directeur exécutif de l’EUIPO.