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Votre pass sanitaire peut être implanté sous votre peau, fini de l’oublier !Votre pass sanitaire peut être implanté sous votre peau, fini de l’oublier !
Une start-up suédoise propose des implants sous-cutanés qui peuvent contenir des informations. L’une des applications possibles est la sauvegarde du pass sanitaire, comme le dévoile un reportage de l’AFP. Provoquant le buzz sur les réseaux sociaux, la société a publié un communiqué pour apporter un peu plus de précision à son produit.
Les implants sous-cutanés ne sont pas nouveaux. Depuis bientôt 10 ans, des sociétés proposent de minuscules modules à positionner sous la peau. Fonctionnant avec une technologie sans contact, ils embarquent différentes informations. En novembre, nous évoquions dans nos colonnes un implant permettant de payer sans contact avec la main. Mais d’autres applications sont possibles.
AVEC CET IMPLANT SOUS LA PEAU, VOTRE PASS SANITAIRE VOUS SUIT PARTOUT
L’une d’elles a été évoquée par une start-up suédoise appelée DSruptive Subdermals. Il s’agit de la sauvegarde du pass sanitaire. Grâce à un implant sous-cutané passif, vous avez toujours avec vous la possibilité de valider votre pass sanitaire. Imaginez donc : quand vous vous rendez dans un lieu où vous devez prouver que vous n’êtes pas contagieux, il n’y a plus besoin de sortir une feuille de papier ou votre smartphone : il suffit de tendre la main pour valider votre sésame. C’est pratique.
Une démonstration a été réalisée auprès de nos confrères de l’AFP qui ont posté une courte vidéo sur Twitter le 21 décembre. Celle-ci a évidemment fait le buzz. À l’heure où nous écrivons ces lignes, elle cumule 3,3 millions de vues et plus de 9000 retweets ou tweets cités. Et les commentaires soulèvent de nombreuses questions concernant la vie privée et la protection des données personnelles. Que fait réellement cet implant ? Est-il connecté ? Peut-il être pisté ? Est-il sécurisé ?
L'IMPLANT EST PASSIF, NE TRANSMET PAS D'INFORMATION ET NE PEUT ÊTRE SUIVI
DSruptive Subdermals a publié un communiqué de presse le 23 décembre afin de répondre à ces interrogations. Et la première information importante est le mot passif. Le composant ne transportant aucune batterie, il ne peut transmettre d’informations par ses propres moyens. Il doit être « lu » par un appareil. C’est le même principe qu’un pass navigo ou une carte bleue sans contact. Pas de batterie. Pas de GPS. Pas de WiFi. Pas de Bluetooth.
Ensuite, DSruptive Subdermals explique que la démonstration est faite avec une puce « multi-usage ». Elle n’est pas dédiée au transport du pass sanitaire. Mais elle peut le faire. Comme elle pourrait aussi transporter votre clé de voiture numérique ou le mot de passe de votre wallet de cryptomonnaie. Bien sûr, une application et un terminal compatible peuvent lire les informations contenues. Il faut alors que les données soient chiffrées pour être protégées.
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Le coût de l’implant est de 100 euros. DSruptive Subdermals explique que la durée de vie est de plusieurs dizaines d’années. La start-up compare cela avec le coût d’un smartphone ou d’une smartwatch, estimant que l’investissement est à la portée du plus grand nombre. Encore faut-il se lancer ? Car, au-delà des questions de sécurité et vie privée, il y a celle du transhumanisme. Êtes-vous tenté par l’expérience ? Rendez-vous en commentaire pour poursuivre la discussion.