- Batterie ordinateur
- ACER ADVENT ALCATEL AMAZON APPLE ASUS AUTEL BAOFENG BBK BENQ BFDX BLACKBERRY BLACKVIEW BLU BOSE BQ CANON CASIO CAT CHUWI CITIZEN CLEVO CMCC COMPAQ COOLPAD CUBOT DELL DJI DOOGEE DOOV DYNABOOK ECOVACS ELEPHONE ETON FANUC FUJIFILM FUJITSU GARMIN GATEWAY GE GETAC GETONG GIGABYTE GIONEE GOOGLE GOPRO HAIER HASEE HBC HILTI HISENSE HOMTOM HONEYWELL HONGJIE HONOR HP HP_COMPAQ HTC HUAWEI HYTERA IBM ICOM INFINIX INFOCUS ITEL JBL JJRC JUMPER JVC K-TOUCH KENWOOD KIRISUN KODAK KONKA KOOBEE KYOCERA LEAGOO LEICA LENOVO LG LOGITECH MAXELL MEDION MEITU MEIZU MICROMAX MICROSOFT MINDRAY MITSUBISHI MJXRIC MOTOROLA MSI NEC NETGEAR NEWLAND NIKON NOKIA OLYMPUS ONEPLUS OPPO OTHER OUKITEL PACKARD_BELL PANASONIC PARROT PAX PENTAX PHILIPS PRESTIGIO QIKU RAZER REALME RTDPART SAMSUNG SANYO SEIKO SHARK SHARP SIEMENS SONY SUNMI SYMA SYMBOL TADIRAN TCL TECNO TOPCON TOSHIBA TP-LINK TRIMBLE TWINHEAD ULEFONE UMI UMIDIGI UNIWILL UROVO VARTA VERTEX VERTU VIVO WEILI WIKO XIAOMI XINNUAN YAESU YUHUIDA ZEBRA ZTE
TOP DES VENTES
Capacité - Tension
ARTICLES RÉCENTS DU BLOG
Google est accusé d’avoir ruiné la réputation d’un avocat
Au Mexique, Google va devoir payer 245 millions de dollars à un particulier pour “préjudice moral”. Le géant américain des moteurs de recherche a annoncé son intention de faire appel.
Dans une déclaration à l’AFP, Google a confié avoir été condamné le 13 juin à verser cinq milliards de pesos en faveur de l’avocat Ulrich Richter Morales, de son épouse et de leur société commune.
En clair, le géant du Web aurait “supposément toléré et permis la diffusion d’un blog” portant atteinte à la réputation de l’avocat. Ce dernier accuse la firme de Mountain View d’avoir permis la diffusion d’un blog l’impliquant dans des délits présumés de blanchiment d’argent, de trafic d’influence et de falsification de documents. Le plaignant affirme avoir demandé la suppression du blog à Google depuis 2015.
La défense de Google
Le géant américain affirme “regretter la condamnation en appel” du tribunal civil de Mexico en charge du jugement. Il considère la décision d’“arbitraire, excessive et sans fondement”. En conséquence, Google assure qu’il “se défendra jusqu’en dernier recours car cet arrêt porte atteinte à la liberté d’expression et à d’autres principes fondamentaux”.
Pour le mastodonte de Moutain View, cette affaire de diffamation n’est pas une première. Pour rappel, début juin, la cour fédérale australienne a ordonné à Google le versement de plus de 466.000 euros à un homme politique australien. Ce dernier estimait avoir été diffamé dans des vidéos d’un humoriste hébergées sur YouTube, qui appartient à Google.
Exercer son droit
Comme la plupart des moteurs de recherche, Google met à disposition de ses utilisateurs un formulaire de demande de suppression de résultats de recherche. “Vous pouvez éprouver le besoin de faire retirer de la recherche Google certains contenus vous concernant. Dans certains cas, il nous est possible de supprimer des liens vers de telles informations de la recherche Google”, indique un billet de blog.
Par le biais de son formulaire en ligne, il est donc possible d’adresser à la firme de Mountain View une demande de “déréférencement d’un contenu vous concernant s’affichant dans la liste de résultats du moteur de recherche”. Pour cela, il faudra préciser l’adresse web du site faisant l’objet de la demande et argumenter.
À savoir que, théoriquement, “Google peut également supprimer du contenu pour des raisons juridiques spécifiques, comme les signalements d’atteinte aux droits d’auteur protégés par la loi DMCA et les images d’abus sexuels sur des enfants. Pour soumettre une demande de suppression pour des motifs d’ordre juridique, utilisez le formulaire de résolution des problèmes juridiques”.