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La Lituanie frappée par une vague de piratages
Au début de la semaine, La Lituanie a déclaré avoir été la cible d’une cyberattaque “intensive” russe.
Tout d’abord, il faut savoir que, début juin et dans le cadre des sanctions européennes contre Moscou, la Lituanie a instauré des restrictions sur le transit vers le point de tension russe Kaliningrad, un territoire pris en sandwich entre la Lituanie et la Pologne. La liste des marchandises interdites comprend charbon, métaux, matériaux de construction et technologies avancées.
Suite à cela, la Russie avait réagi le 21 juin en promettant des mesures “sérieuses” contre le pays balte.
La cible d’un piratage moscovite
Ce 27 juin, la Lituanie a assuré avoir été victime d’une attaque informatique visant des sites d’institutions publiques, des entreprises et des réseaux sécurisés. Les conséquences de cette dernière ne sont pas des moindres, puisqu’elle a entraîné l’arrêt des services fiscaux et a perturbé la délivrance des passeports. Les informations proviennent d’un communiqué du Centre national de cybersécurité publié par le ministère de la Défense.
“Il est très probable que des attaques d’une intensité similaire ou supérieure se poursuivent dans les prochains jours, notamment dans les secteurs des transports, de l’énergie et des finances”, affirme Jonas Skardinskas, le directeur du Centre national de cybersécurité, dans un communiqué. Selon lui, les attaques provenaient “probablement” de Russie et sont déjà “maîtrisées”, rapporte Le Figaro.
L’œuvre de Killnet
Et le directeur ne s’est pas trompé. Le groupe de pirates informatique russe Killnet a effectivement revendiqué cette attaque par déni de service distribué (DDoS) qui a duré plusieurs jours, rapporte Reuters. Le point de départ de tout cela est donc l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Dans son message, Killnet assume qu’il s’agit d’une réponse au blocus des marchandises imposé par Vilnius sur le territoire russe de Kaliningrad. Et selon le Premier ministre Ingrida Simonyte dans le communiqué, depuis l’invasion de l’Ukraine, ces attaques russes sont monnaies courantes. D’ailleurs, le groupe de pirates a exigé que la Lituanie revienne sur ses positions et autorise à nouveau le transit des marchandises vers Kaliningrad. En cas de refus, il assure que les attaques se poursuivront.
À savoir que ce type d’attaque par déni de service a pour but de perturber le trafic normal d’un serveur, d’un service ou d’un réseau ciblé. Et ce, en inondant le système informatique avec un flot de trafic Internet. Ainsi, à la façon d’un embouteillage sur une autoroute, le piratage empêche le trafic, et donc toutes les informations d’arriver à destination.