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La Belgique est l’un des plus mauvais élèves de l’Europe dans la numérisationLa Belgique est l’un des plus mauvais élèves de l’Europe dans la numérisation
En matière de digitalisation, la Belgique est à la traine.
L’indice DESI, en anglais “Digital Economy and Society Index”, est élaboré par la Commission européenne. Depuis 2014, cet indicateur mesure et compare les performances des États membres dans les principaux domaines de l’économie et du numérique. Les rapports, publiés chaque année, permettent à la Commission européenne de suivre les progrès réalisés par les États membres en matière de digitalisation.
Un manque de compétences et d’infrastructures
D’après le rapport du DESI, la Belgique régresse en matière de digitalisation. Ce recul s’expliquerait principalement par une faible progression des compétences digitales et une infrastructure numérique trop modeste. En un an, le pays est passé de la 16e à la 22e place. Le classement prend en compte quatre critères. À savoir, le capital humain, la connectivité, l’intégration de la technologie numérique et l’état des services publics numériques.
La Belgique se situe ainsi en dessous de la moyenne de l’UE en matière de connectivité. Les chiffres affichent un écart de 40 points de pourcentage par rapport à la moyenne en ce qui concerne le déploiement de la FTTP. La FTTP, “Fibre to the Premises” en anglais, est une architecture de réseau d’accès qui consiste à déployer la fibre sur l’ensemble du réseau du territoire.
Les bons points
Notre pays enregistre par ailleurs quelques bonnes notes. En matière d’intégration des technologies numériques, la Belgique occupe la 6e place du classement de l’Union. En effet, dans le cadre de leurs activités, les entreprises du pays ont largement recours aux technologies numériques. Elles utilisent beaucoup l’informatique en nuage (le cloud) et les nombreuses PME spécialisées dans la vente en ligne enregistrent des résultats largement supérieurs à la moyenne de l’UE.
“La Belgique obtient également de très bons résultats en ce qui concerne le nombre d’utilisateurs de l’administration en ligne”, ajoute le rapport. Ce secteur, qui connaît une forte augmentation, s’établit désormais à 9 points de pourcentage au-dessus de la moyenne de l’UE. En chiffres, en moyenne, 74% des Belges ont déjà contacté leur administration en ligne, contre 65% pour la moyenne européenne.
Et les autres pays ?
De leur côté, la Finlande, le Danemark, les Pays-Bas et la Suède conservent les meilleures places du classement. À noter tout de même que leur taux d’adoption des technologies numériques avancées reste faible. Il est inférieur à 30%, et donc, très loin de l’objectif de 75% fixé pour 2030. D’après la Commission, les pénuries généralisées de compétences ralentissent les progrès globaux et se traduisent par une exclusion numérique.
“Pendant la pandémie de Covid, les États membres ont progressé dans leur numérisation mais ils peinent encore à combler les lacunes dans le domaine des compétences numériques, de la transformation numérique des PME et du déploiement de réseaux 5G avancés”, conclut la Commission européenne.