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Le SPF rappelle les créateurs de contenus belges à l’ordre
Certains créateurs de contenus belges ont été rappelés à l’ordre.
En tout, le SPF Économie a rappelé à l’ordre une cinquantaine d’influenceurs. Ces derniers ont reçu un avertissement qui leur rappelle que, sur les réseaux sociaux, ils doivent indiquer leur adresse, un numéro d’entreprise et une adresse mail sur leurs profils.
Cette vague de rappels à l’ordre est le fruit d’une enquête du SPF Économie. Il s’agit du service public fédéral qui a pour mission, entre autres, de contrôler la légalité de toutes les entreprises du pays.
La loi considère que, pour le follower lamda d’un influenceur, “il n’est pas toujours évident de reconnaître un message publicitaire et de réaliser que le créateur de contenu reçoit un avantage à publier un message commercial”. Elle critique d’ailleurs le fait que les messages commerciaux apparaissent souvent entre de simples messages du créateur de contenu, “ce qui rend difficile pour le follower de distinguer les simples messages des posts publicitaires”.
C’est ainsi que la loi exige des influenceurs de mentionner clairement le caractère commercial de leurs publications. Mais pas que. Étant donné que ces influenceurs publient régulièrement des messages publicitaires pour des marques, ils exercent une activité professionnelle indépendante. Au sens du Code de droit économique, ils possèdent donc le statut d’entreprise.
En plus de s’enregistrer comme entreprise, les créateurs de contenu doivent également mentionner leurs données d’entreprise sur leurs pages sur les réseaux sociaux et sur leurs sites internet. Par “données d’entreprise”, il faut comprendre, le numéro d’entreprise, l’adresse de l’entreprise et l’adresse e-mail professionnelle. “Ces informations sont obligatoires pour les entreprises et donc aussi pour les créateurs de contenu, car elles permettent aux consommateurs et aux services publics d’identifier facilement l’entreprise et de la contacter en cas de problèmes”, indique le SPF. L’organisme prévient, si l’influenceur ne respecte pas cette obligation d’enregistrement, il est en violation du Code de droit économique. “Votre travail est considéré comme un travail clandestin, qui est interdit et punissable par la loi”, ajoute le SPF.
Face à cette loi, se pose alors la question de la vie privée. En effet, si l’obligation de rendre public une adresse de société ne pose aucun problème aux grosses entreprises, ce n’est pas forcément le cas pour les influenceurs. À savoir que, selon la loi, l’adresse de la société doit correspondre à l’adresse où le professionnel exerce effectivement ses activités. Prenons l’exemple d’une créatrice de contenu de 19 ans. Cette dernière n’aura pas forcément envie de partager à tous ses followers l’adresse de son domicile privée, au risque de s’exposer au harcèlement, aux menaces ou tout simplement à la visite de personnes malintentionnées.