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Une autre plateforme de cryptomonnaies déclare faillite
La filiale américaine de Bittrex met la clé sous la porte et se place sous la protection du chapitre 11 de la loi fédérale sur les faillites. En cause, la répression réglementaire appliquée par les États-Unis.
Lundi 8 mai au soir, Bittrex a officialisé la mise en faillite de sa branche américaine. « Nous avons pris la décision de nous placer sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites auprès du tribunal fédéral du Delaware », indique la société dans un communiqué. Pour rappel, ce fameux chapitre 11, auquel ont souvent recours les entreprises en difficulté, permet à la firme de maintenir une activité minimale.
En soi, la nouvelle ne surprendra pas les clients. Bittrex avait d’ores et déjà prévenu ces derniers qu’ils avaient jusqu’au 30 avril pour récupérer leurs fonds. Pas d’inquiétude pour les retardataires, puisque l’entreprise précise avoir « demandé au tribunal d’activer leurs comptes dès que possible ». En parallèle, la plateforme souligne bien que cette faillite concerne uniquement sa filiale américaine. Bittrex Global continue donc de fonctionner normalement.
Un problème de réglementation
Contrairement à la plupart des faillites qui touchent le secteur, il semble que la décision de Bittrex n’ait rien à voir avec de quelconques retombées économiques. Selon l’entreprise, c’est l’absence d’une réglementation claire qui a motivé ce choix. « Les exigences réglementaires sont souvent floues et appliquées sans discussion ou contribution appropriée, ce qui entraîne un paysage concurrentiel inégal », explique le Richie Lai, cofondateur et PDG de la plateforme.
En outre, la société doit faire face à certaines accusations. La Securities and Exchange Commission (SEC), entre autres, poursuit Bittrex et affirme que l’entreprise se comporte comme une bourse d’échanges de titres sans l’enregistrement nécessaire. Ce qui lui aurait rapporté plus d’1,3 milliard de dollars entre 2017 et 2022.
Évidemment, Bittrex nie les allégations. Néanmoins, le problème ne réside pas dans ces accusations que dans le flou juridique qui entoure le secteur. Combiné à l’agressivité des autorités américaines, il n’est donc pas étonnant de voir certains acteurs se détourner du pays de l’Oncle Sam.