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Google aurait encaissé des millions pour des pubs anti-avortement
Après l’abrogation de l’arrêt Roe v. Wade aux États-Unis, l’avortement est devenu de plus en plus difficile d’accès dans certains états, certains d’entre eux l’ayant interdit dans presque toutes les situations.
Google reste ainsi pour la plupart des utilisateurs aux États-Unis l’un des meilleurs moyens d’avoir accès aux informations sur l’avortement et sur les cliniques le pratiquant. Pourtant, le moteur de recherche affiche des résultats qui ne correspondent pas toujours à la demande, et qui peuvent s’avérer trompeurs quant à leur contenu.
Selon une étude du Center for Countering Digital Hate (CCDH), un organisme luttant contre la haine en ligne, le géant de Mountain View aurait ainsi empoché près de dix millions de dollars entre 2021 et 2023 pour des publicités mettant en avant des « centres de crise de grossesse ».
Ces centres n’ont rien de cliniques officielles, puisqu’il s’agit d’établissements visant à décourager ou à retarder la pratique de l’avortement en utilisant des arguments pseudo-scientifiques tels que l’idée que l’avortement causerait le cancer, voire parfois à administrer des « traitements » sans fondements médicaux afin de supposément annuler les effets d’un avortement, et de prolonger la grossesse.
Il s’agit par exemple de traitements à base d’injections de progestérone qui, en plus de n’avoir aucun effet, peuvent s’avérer extrêmement dangereux pour l’organisme. Ceux-ci ont d’ailleurs été interdits dans l’État du Colorado en raison de leur dangerosité.
Mais ce qui est le plus problématique, c’est que ces centres apparaissent dans les premiers résultats de recherche sur Google aux États-Unis, sans être différentiables des résultats légitimes, ce qui constitue une forme de publicité mensongère.
Ceci constitue théoriquement une brèche du règlement de Google quant à la question. En effet, le géant de la tech est censé filtrer les propositions de publicités, et préciser dans les résultats de recherche si ceux-ci pratiquent ou ne pratiquent pas l’avortement. Visiblement, certains établissements parviennent tout de même à passer entre les mailles du filet.
Ce serait en effet 10 % des résultats de recherche qui seraient touchés par le phénomène. Une situation par rapport à laquelle Google dit prendre des mesures, même si la firme affirme que les centres concernés ne sont théoriquement pas en infraction par rapport au règlement de l’entreprise.