- Batterie ordinateur
- ACER ADVENT ALCATEL AMAZON APPLE ASUS AUTEL BAOFENG BBK BENQ BFDX BLACKBERRY BLACKVIEW BLU BOSE BQ CANON CASIO CAT CHUWI CITIZEN CLEVO CMCC COMPAQ COOLPAD CUBOT DELL DJI DOOGEE DOOV DYNABOOK ECOVACS ELEPHONE ETON FANUC FUJIFILM FUJITSU GARMIN GATEWAY GE GETAC GETONG GIGABYTE GIONEE GOOGLE GOPRO HAIER HASEE HBC HILTI HISENSE HOMTOM HONEYWELL HONGJIE HONOR HP HP_COMPAQ HTC HUAWEI HYTERA IBM ICOM INFINIX INFOCUS ITEL JBL JJRC JUMPER JVC K-TOUCH KENWOOD KIRISUN KODAK KONKA KOOBEE KYOCERA LEAGOO LEICA LENOVO LG LOGITECH MAXELL MEDION MEITU MEIZU MICROMAX MICROSOFT MINDRAY MITSUBISHI MJXRIC MOTOROLA MSI NEC NETGEAR NEWLAND NIKON NOKIA OLYMPUS ONEPLUS OPPO OTHER OUKITEL PACKARD_BELL PANASONIC PARROT PAX PENTAX PHILIPS PRESTIGIO QIKU RAZER REALME RTDPART SAMSUNG SANYO SEIKO SHARK SHARP SIEMENS SONY SUNMI SYMA SYMBOL TADIRAN TCL TECNO TOPCON TOSHIBA TP-LINK TRIMBLE TWINHEAD ULEFONE UMI UMIDIGI UNIWILL UROVO VARTA VERTEX VERTU VIVO WEILI WIKO XIAOMI XINNUAN YAESU YUHUIDA ZEBRA ZTE
TOP DES VENTES
Capacité - Tension
ARTICLES RÉCENTS DU BLOG
Les 5 plus grosses erreurs de Steve Jobs
Qu’on l’apprécie ou non, Steve Jobs était très certainement un visionnaire sur bien des points… Mais ça ne veut pas dire qu’il ne se trompait jamais ! Voici ses cinq plus grosses erreurs.
Le recrutement de John Sculley
S’il y a bien une erreur de Steve Jobs sur laquelle tout le monde s’accorde, c’est bien celle d’avoir engagé John Sculley comme associé pour diriger Apple. L’homme d’affaires comptait trouver en Sculley, alors dirigeant de Pepsi, un collaborateur plus expérimenté dans la direction d’Apple.
On connaît d’ailleurs bien la mythique phrase qu’il lui a dit pour le convaincre : “Vous comptez vendre de l’eau sucrée pour le restant de votre vie, ou vous voulez travailler avec moi et changer le monde ?”
Mais force est de constater qu’une fois que Sculley rejoint la boîte, c’est le drame, les deux comparses s’entendant en réalité de moins en moins bien. Jusqu’à ce que l’ancien patron de Pepsi fasse tout pour progressivement retirer à Jobs tout contrôle de son entreprise, jusqu’à virer le fondateur de la marque à la pomme.
Fort heureusement, Jobs se rattrapera en rachetant les studios Pixar, puis en revenant à la tête d’Apple.
Ne pas reconnaître sa fille
Cette affaire-là aussi est bien connue des spécialistes d’Apple et de Steve Jobs, mais elle n’en reste pas moins ce qui est probablement la plus grosse erreur sur le plan de sa vie privée.
Steve Jobs a en effet eu une fille : Lisa Brennan-Jobs. Et si, désormais, elle affiche le patronyme de son père à côté de celui de sa mère, cela n’a pas toujours été le cas. En effet, à sa naissance, Steve Jobs, qui était alors patron d’un tout récent Apple, refusa de reconnaître Lisa comme sa propre fille.
L’affaire fut même portée au tribunal, où Steve Jobs continua de nier, alors même qu’un test de paternité ne laissait aucun doute quant à l’identité du père de Lisa.
Ce n’est qu’à ses neuf ans que celui qui est alors le PDG de Pixar change d’attitude et commence à regretter d’avoir ignoré sa fille. Après s’être excusé, il se réconcilie donc avec Lisa qui adopte alors le nom de son père.
Malheureusement, Lisa Brennan-Jobs a confié que même après cela, Steve Jobs n’a jamais vraiment eu la fibre paternelle et est resté un père très froid et distant.
NeXT : une entreprise qui n’a jamais vraiment décollé
Entre la démission forcée d’Apple et le rachat de Pixar, il y a eu NeXT. Une entreprise fondée par Steve Jobs et qui, contrairement à ses deux autres principales aventures, s’est avérée être un flop monumental.
NeXT est en effet fondé en 1985 par un Steve Jobs désœuvré, puisqu’il vient d’être mis à la porte d’Apple. Bien décidé à ne pas s’arrêter là, il fonde donc cette entreprise qui veut fournir des ordinateurs aux universités et aux entreprises.
Malheureusement pour Jobs, NeXT s’avèrera être un échec. Ou plutôt… un demi-échec. En effet, si l’entreprise ne parvient que difficilement à vendre ses ordinateurs car il ne sait pas vraiment définir de public-cible, elle va permettre à Jobs de réintégrer la marque à la pomme.
C’est en effet le rachat de NeXT en 1996 par Apple qui permettra à Steve Jobs de réintégrer Apple, dont il redeviendra PDG en 2000.
Qui plus est, tout le savoir-faire technologique de NeXT n’aura pas été perdu, puisque c’est la technologie de NeXT qui est à l’origine du système d’exploitation Mac OS X (depuis devenu simplement macOS, à ne pas confondre avec l’ancien système Mac OS, depuis renommé Mac OS Classic pour les différencier).
Avoir vendu les actions d’Apple après avoir démissionné
La démission forcée de Steve Jobs a dû causer quelques ressentiments, et on peut comprendre qu’il n’ait pas eu envie de conserver en sa possession des actions de l’entreprise qu’il venait de quitter. Cependant, c’est peut-être là aussi une de ses grosses erreurs.
Si le patron de la marque à la pomme s’est rattrapé, et était plutôt aisé au moment de son décès, avec une fortune estimée à 10 milliards de dollars, cela n’empêche pas qu’il aurait pu l’être encore plus s’il n’avait pas vendu toutes ses parts d’Apple sous le coup de la colère après son départ.
En effet, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la majorité de la richesse de Jobs ne provenait pas, à sa mort, d’Apple, mais bien de Pixar et des studios Disney.
Il est difficile d’estimer la valeur de sa fortune s’il n’avait pas vendu ces actions (après tout, cela aurait en soi eu un effet sur la valeur boursière d’Apple), mais il est fort probable que celles-ci auraient valu plusieurs fois ces 10 milliards de dollar.
Les tentatives ratées de revendre Pixar
C’est une erreur qui, fort heureusement pour Steve Jobs, n’est pas parvenue à son terme, mais qui aurait pu lui coûter très cher.
En effet, à la fin des années 80, et donc bien des années avant qu’il ne réintègre Apple, Steve Jobs essaye de revendre Pixar à des acheteurs plutôt célèbre, puisqu’il va, entre autres, faire une offre à Bill Gates.
Ce n’était pas nécessairement une mauvaise idée en soit. Il espérait ainsi récupérer son investissement originel (qui était aux alentours de 50 millions de dollars). Il faut dire qu’à l’époque, Toy Story est encore loin de sortir et il est impossible de prédire les succès à venir.
Steve Jobs a, paradoxalement, eu beaucoup de chance qu’aucun des potentiels acheteurs ne se montre intéressé à l’époque. Cela lui a permis, en 2006, de revendre Pixar aux studios Disney pour six milliards de dollars, tout en devenant, par là même occasion, l’un des principaux membres du conseil d’administration des studios à la souris. Une source bienvenue de revenus pour le patron d’Apple.