- Batterie ordinateur
- ACER ADVENT ALCATEL AMAZON APPLE ASUS AUTEL BAOFENG BBK BENQ BFDX BLACKBERRY BLACKVIEW BLU BOSE BQ CANON CASIO CAT CHUWI CITIZEN CLEVO CMCC COMPAQ COOLPAD CUBOT DELL DJI DOOGEE DOOV DYNABOOK ECOVACS ELEPHONE ETON FANUC FUJIFILM FUJITSU GARMIN GATEWAY GE GETAC GETONG GIGABYTE GIONEE GOOGLE GOPRO HAIER HASEE HBC HILTI HISENSE HOMTOM HONEYWELL HONGJIE HONOR HP HP_COMPAQ HTC HUAWEI HYTERA IBM ICOM INFINIX INFOCUS ITEL JBL JJRC JUMPER JVC K-TOUCH KENWOOD KIRISUN KODAK KONKA KOOBEE KYOCERA LEAGOO LEICA LENOVO LG LOGITECH MAXELL MEDION MEITU MEIZU MICROMAX MICROSOFT MINDRAY MITSUBISHI MJXRIC MOTOROLA MSI NEC NETGEAR NEWLAND NIKON NOKIA OLYMPUS ONEPLUS OPPO OTHER OUKITEL PACKARD_BELL PANASONIC PARROT PAX PENTAX PHILIPS PRESTIGIO QIKU RAZER REALME RTDPART SAMSUNG SANYO SEIKO SHARK SHARP SIEMENS SONY SUNMI SYMA SYMBOL TADIRAN TCL TECNO TOPCON TOSHIBA TP-LINK TRIMBLE TWINHEAD ULEFONE UMI UMIDIGI UNIWILL UROVO VARTA VERTEX VERTU VIVO WEILI WIKO XIAOMI XINNUAN YAESU YUHUIDA ZEBRA ZTE
TOP DES VENTES
Capacité - Tension
ARTICLES RÉCENTS DU BLOG
>
Tous les articles >
L’union européenne va récompenser les internautes pour trouver les failles des logicielsL’union européenne va récompenser les internautes pour trouver les failles des logiciels
Le programme, qui débute au mois de janvier 2019, consistera à débusquer les failles présentes dans une quinzaine de logiciels libres.
La députée européenne Julia Reda a publié sur son blog un article décrivant le lancement de cette grande chasse aux failles qui vise dans un premier temps 14 programmes en janvier, et un quinzième qui s’ajoutera au mois de mars.
Tous sont des logiciels libres, tour à tour utilisés par le grand public ou principalement exploités par des développeurs. 7-Zip, Apache Kafka, Apache Tomcat, Digital Signature Services (DSS), Drupal, FileZilla, FLUX TL, GNU C Library (glibc), KeePass, midPoint, Notepad++, PHP Symfony, PuTTY, VLC Media Player et WSO2 sont concernés.
Ainsi, ceux et celles qui signaleront à l’Union européenne des failles et autres bugs trouvés dans ces programmes seront récompensés d’une somme d’argent plus ou moins importante. Le montant de la prime varie en fonction de la gravité du problème découvert et de l’importance relative du logiciel, allant de 34.000 euros pour le plus “petit” (FLUX TL) à 90.000 euros pour le plus “gros” (PuTTY). La durée de l’examen varie également de l’un à l’autre.
C’est la découverte de la faille Heartbleed en 2014 (présente sur le logiciel OpenSSL, utilisé pour protéger ses mots de passe, ses numéros de carte bancaire et d’autres données sur Internet, la faille permettait aux pirates de récupérer des informations en passant par la mémoire des serveurs de l’ordinateur) qui est à l’origine de cette prise de conscience de la part de l’Union européenne. Julia Reda explique que “ce problème a fait prendre conscience à beaucoup de gens de l’importance des logiciels libres et open source pour l’intégrité et la fiabilité de l’Internet et d’autres infrastructures car, comme beaucoup d’autres organisations, des institutions comme le Parlement européen, le Conseil et la Commission s’appuient sur le logiciel libre pour gérer leurs sites web et bien d’autres choses.”
C’est ainsi qu’a été lancé le projet FOSSA (Free and Open Source Software Auditing) afin de répertorier les logiciels libres utilisés par les institutions européennes et d’en contrôler la fiabilité. La mise en place de la chasse aux failles dont il est question aujourd’hui est la prolongation de cette initiative FOSSA qui a en 2017 organisé plusieurs hackathons.