- Batterie ordinateur
- ACER ADVENT ALCATEL AMAZON APPLE ASUS AUTEL BAOFENG BBK BENQ BFDX BLACKBERRY BLACKVIEW BLU BOSE BQ CANON CASIO CAT CHUWI CITIZEN CLEVO CMCC COMPAQ COOLPAD CUBOT DELL DJI DOOGEE DOOV DYNABOOK ECOVACS ELEPHONE ETON FANUC FUJIFILM FUJITSU GARMIN GATEWAY GE GETAC GETONG GIGABYTE GIONEE GOOGLE GOPRO HAIER HASEE HBC HILTI HISENSE HOMTOM HONEYWELL HONGJIE HONOR HP HP_COMPAQ HTC HUAWEI HYTERA IBM ICOM INFINIX INFOCUS ITEL JBL JJRC JUMPER JVC K-TOUCH KENWOOD KIRISUN KODAK KONKA KOOBEE KYOCERA LEAGOO LEICA LENOVO LG LOGITECH MAXELL MEDION MEITU MEIZU MICROMAX MICROSOFT MINDRAY MITSUBISHI MJXRIC MOTOROLA MSI NEC NETGEAR NEWLAND NIKON NOKIA OLYMPUS ONEPLUS OPPO OTHER OUKITEL PACKARD_BELL PANASONIC PARROT PAX PENTAX PHILIPS PRESTIGIO QIKU RAZER REALME RTDPART SAMSUNG SANYO SEIKO SHARK SHARP SIEMENS SONY SUNMI SYMA SYMBOL TADIRAN TCL TECNO TOPCON TOSHIBA TP-LINK TRIMBLE TWINHEAD ULEFONE UMI UMIDIGI UNIWILL UROVO VARTA VERTEX VERTU VIVO WEILI WIKO XIAOMI XINNUAN YAESU YUHUIDA ZEBRA ZTE
TOP DES VENTES
Capacité - Tension
ARTICLES RÉCENTS DU BLOG
Test – Dragon’s Lair Trilogy : un joli condensé nostalgique de QTE
Depuis sa parution en 1983, Dragon’s Lair est quasiment sorti sur toutes les consoles à travers les générations. Si Nintendo avait déjà eu droit à cette compilation (sur Wii et 3DS, notamment), c’est maintenant au tour de la Switch d’accueillir ces petits classiques interactifs.
Sorti à l’époque sur bornes d’arcade équipées de laser disc, le premier Dragon’s Lair est devenu un petit classique par son originalité et sa direction artistique. Il marque en effet d’une part la naissance du quick time event (QTE), qui consiste à appuyer sur le bon bouton dans un temps imparti (une direction ou la touche d’action, dans ce cas-ci). Et, d’autre part, le jeu n’est ni plus ni moins qu’un dessin animé interactif réalisé par une pointure de l’animation au cinéma, Don Bluth, à qui l’on doit entre autres Le Petit Dinosaure et la Vallée des merveilles ainsi que Fievel et le Nouveau Monde.
L’artiste livre pour les besoins de Dragon’s Lair une aventure ancrée dans l’heroic fantasy où un preux chevalier, Dirk, s’aventure dans un château pour y délivrer la princesse Daphné des griffes d’un dragon. On en restera là pour le scénario, le jeu étant aussi très chiche en dialogues (deux ou trois lignes maximum). Les situations s’enchaînent, le joueur passant d’un tableau à l’autre en décidant à chaque fois très rapidement dans quelle direction se diriger pour progresser et éviter les nombreux pièges qui se présentent. Haut, bas, gauche, droite ou une pression sur le bouton d’action sont donc les seules manipulations demandées. Un gameplay simple et extrêmement limité, qui s’avère également extrêmement punitif car la moindre erreur ou un timing inapproprié sont synonymes de mort immédiate.
Dragon’s Lair casual
A l’époque, le joueur disposait de seulement trois vies pour achever la quête. Ici, vous pouvez en avoir cinq et les « continue » sont illimités. Ce qui simplifie grandement la tâche, même si l’on continue de pester à chaque fois que l’on se trompe. Pourtant, il est possible désormais de voir où appuyer (une aide peut être activée pour obtenir une indication de direction), alors qu’à l’époque il fallait réagir en fonction du contexte, avec parfois un endroit de l’écran qui clignotait en guise d’indice. Il fallait donc parfois un peu tâtonner, ce qui rendait la progression réellement aventureuse, faire preuve d’excellents réflexes et retenir par cœur chaque passage pour pouvoir tout faire d’une traite, les patterns ne changeant pas d’un iota.
On conseillera donc aux plus téméraires voulant vivre l’expérience comme à l’époque de désactiver l’aide dans les options (elle est activée par défaut) pour ne pas voir les flèches et indications en bas de l’écran qui ont en plus tendance à nous faire dévier le regard des magnifiques animations qui se déroulent sous nos yeux.