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5 choses que vous ignoriez sur l’Hyperloop
Vu par beaucoup comme le moyen de transport du futur, l’Hyperloop progresse pas-à-pas vers le premier voyage d’un passager. À l’aube de son lancement, que savons-nous finalement à son sujet?
Le premier Hyperloop a plus de 200 ans
Si on attribue l’invention de l’Hyperloop à Elon Musk, le multi-milliardaire tire avant tout son inspiration d’autres inventions avant lui. Certains estiment que l’Aérotrain, un concept de train sur coussin d’air imaginé par Jean Bertin il y a plus d’un demi-siècle, serait la source de l’inspiration pour l’Hyperloop.
Mais en remontant en 1799, on retrouve déjà la trace d’un concept similaire. L’inventeur britannique George Medhurst déposait un brevet portant sur le transport de marchandises dans des tuyaux en fonte sous haute pression.
D’autres navettes de transport rappelant étrangement l’Hyperloop ont vu le jour au cours du 19ème siècle comme une ligne londonienne qui permettait de transporter le courrier et même des passagers entre 1863 et 1874 ou le tramway atmosphérique du Crystal Palace qui avançait grâce à un ventilateur qui tournait dans un sens ou dans l’autre au milieu des années 1860.
Un Hyperloop sur Mars
La passion dévorante pour la planète rouge d’Elon Musk n’est un secret pour personne. L’homme à la créativité débordante s’est illustré dans des domaines aussi divers et variés que l’automobile électrique, l’exploration spatiale et les moyens de transports du futur. Pourtant, leur multiplicité n’est pas totalement dénuée de sens.
Rêvant d’installer un jour une colonie sur Mars, le patron de SpaceX a déjà évoqué à de multiples reprises l’avantage d’installer son train du futur sur notre planète voisine. Sur Mars la densité de l’air n’est que d’1% de celle de la Terre, ce qui permettrait aux capsules de se déplacer à l’air libre, hors d’un tube, sans être freinée par le frottement.
En revanche, la vision de Musk s’inscrit dans le très long terme puisqu’il faudrait déjà que deux villes suffisamment éloignées l’une de l’autre existent sur Mars pour nécessiter l’installation d’une ligne d’Hyperloop.
C’est le moyen de transport le plus sécurisé
Difficile aujourd’hui d’affirmer avec assurance que l’Hyperloop est un moyen de transport parfaitement sécurisé, en l’absence de statistiques ou même d’une réelle infrastructure. Sa vitesse de déplacement élevée a de quoi faire frémir les plus angoissés, pourtant, les voyageurs pourront monter à bord des capsules supersoniques l’esprit tranquille.Musk met un point d’honneur à ce que le moyen de transport qu’il a imaginé soit écologique. C’est pourquoi son inventeur lui a fixé pour objectif d’être auto-suffisant. À terme, les tubes de transport devraient être équipés de panneaux photovoltaïques pour alimenter l’entièreté du système de transport et réinjecter l’électricité dans le circuit en cas de surproduction.
L’Hyperloop est un projet disponible en open-source
Avec déjà plus d’un projet sous le manteau, Elon Musk ne s’est jamais accaparé les plans de son transport du futur, il n’est en fait que l’instigateur d’un vaste projet aujourd’hui repris pas de multiples entreprises autour du globe.
Avec une équipe d’ingénieurs issus de Tesla et SpaceX, le PDG des deux entreprises a livré publiquement un document de 57 pages expliquant de manière théorique comment le système est supposé fonctionner. À l’instar de Linux, l’Hyperloop est donc disponible en open-source.
Depuis que l’idée a germé en 2012, Musk n’a jamais déposé le moindre brevet, encourageant plutôt l’aspect participatif et étant toujours prêt à lui-même financer le projet et reprendre personnellement en main son développement si aucun investisseur ne s’y engageait sérieusement.
L’Hyperloop serait plus sécurisé que les voitures, les avions, les bateaux et même le train (qui est actuellement le moyen le plus sûr de se déplacer). Le fait d’être enfermé dans des tubes hermétiques protège les capsules des caprices de la météo. De plus, le système est entièrement automatisé, écartant toute risque d’erreur humaine. Enfin, sa conception implique que deux capsules soient suffisamment éloignées pour éviter tout impact en cas de problème technique, 5 miles (soit environ 8 kilomètres) doivent les séparer dans un tube, elles bénéficient en outre d’un système de freinage d’urgence.
En revanche, il est à peine envisageable d’installer des virages sur le réseau Hyperloop. À une vitesse de 1200 km/h, les courbes devraient s’étaler sur plusieurs dizaines de kilomètres pour que l’accélération ressentie par le corps reste supportable. C’est la raison pour laquelle les projets envisagés relient une ville à l’autre en ligne droite.
L’Hyperloop est auto-suffisant