Motorola veut réinventer le mobile avec son smartphone pliable

Motorola faisait parler de soi dès le début de cette année concernant un potentiel retour de son téléphone à clapet iconique, le Razr. Maintenant, de nouvelles informations à propos de ce projet viennent de surgir.

Les spécifications de l'appareil ainsi que le futur logo de la gamme viennent de fuiter, grâce à une source proche du projet. Motorola planche bel et bien sur le retour de sa gamme de téléphones Razr, mais sous une forme plus innovante que celle qui est attendue.

Ce nouveau téléphone estampillé Motorola reprendra le même principe que ses prédécesseurs. Il consistera en un téléphone à clapet, mais permettra de bénéficier d'un écran intégral, comme on le retrouve sur les smartphones actuels.

Le smartphone pliable de Motorola
En somme, Motorola travaille sur son propre modèle de smartphone pliable. Mais ce modèle sera décliné sous une forme à contre-courant des tendances actuelles. Il n'aura donc rien à voir avec le modèle de Huawei ou de Samsung.

Ce modèle de Motorola pourrait se nommer "Voyager" et il ne faut pas s'attendre à une bête de course au niveau technique. Motorola semble davantage s'attarder sur la technologie d'écrans pliable et sur le côté innovant de l'appareil. De plus il sera possible de voir certaines fonctionnalités être offertes par le biais du deuxième écran, qui sera présent sur le dessus de l'appareil.

Ce nouveau Rzer possédera un écran principal pliable de 6,2 pouces. Un second, plus petit, sera également présent sans toutefois en connaître les dimensions. Ce nouveau Razr devrait être pourvu d'un Snapdragon 710, de 4 à 6 Go de RAM pour un stockage de 64 à 128 Go de stockage. Sa batterie, telle que révélée, s'avère être plutôt faible avec une capacité seulement 2,730 mAh.

Des bruits courent concernant un tarif qui avoisinerait les 1.500$, ce qui paraît assez conséquent compte tenu des caractéristiques techniques. Il est probable que ces informations techniques, provenant de XDA Developers, soient maintenant dépassées. Il est donc possible que la société américaine ait revu, entre temps, certains de ces éléments.