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Le fondateur de WhatsApp critique de nouveau Facebook
Lors d’une conférence, Brian Acton, l’un des fondateurs de WhatsApp, s’est exprimé à propos de ce qu’était devenue sa création depuis son rachat par la société de Mark Zuckerberg. Une intervention – que rapporte BuzzFeed News – durant laquelle il a de nouveau conseillé les internautes de supprimer tout bonnement leur compte Facebook.
Brian Acton est revenu sur sa décision – à lui et à Jan Koum, l’autre cofondateur de WhatsApp – de revendre son application de messagerie au mastodonte Facebook. Un rachat qui a eu lieu en 2014, pour 19 milliards de dollars. Le fondateur reconnait avoir été naïf lors de ce rachat. Il espérait pouvoir continuer à diriger l’entreprise comme il le souhaitait tout en apportant de nouvelles manières de créer des revenus. « J’avais 50 employés et je devais penser à eux et l’argent que l’on aurait grâce à la vente. Je devais penser à nos investisseurs », explique-t-il.
Lors de la conférence organisée à Stanford, Brian Acton a surtout pointé du doigt les géants de la Silicon Valley – Facebook, Apple et Google – et l’écosystème de rentabilité sur lequel ils reposent. À l’époque où il était propriétaire de WhatsApp, le modèle économique de correspondait pas aux attentes de Facebook. D’ailleurs, trois ans après le rachat de l’application, Brian Acton décide d’abandonner le navire suite à l’apparition de la publicité dans WhatsApp.
« Le modèle économique était : on vous donne accès à un service pour un dollar par an. Ce n’était pas un moyen extraordinaire de se faire de l’argent. Si vous avez un milliard d’utilisateurs, vous avez un milliard de dollars par an. Ce n’est pas ce que recherchent Google et Facebook, ils veulent plusieurs milliards », explique-t-il. Les géants du web cherchent à chasser le capital-risque et à tout mettre en œuvre pour satisfaire leurs employés et leurs actionnaires.
Une recherche du profit qui représente un danger pour les utilisateurs puisque l’attention est davantage mise sur la rentabilité plutôt que l’éthique ou la sécurité, par exemple. « Le motif capitaliste du profit ou le fait de répondre à Wall Street est ce qui motive l’expansion de l’invasion de la confidentialité des données et des résultats négatifs dont nous ne sommes tout simplement pas satisfaits ».
Le fondateur de WhatsApp regrette profondément cette situation « j’aimerais qu’il y ait des glissières de sécurité. Je souhaite qu’il y ait des moyens de le maîtriser. Je n’ai pas encore vu ce manifeste, et cela me fait peur ».
Lors du scandale de Cambridge Analytica en 2018 qui a entaché la réputation de Facebook, Brian Acton avait déjà invité les membres du réseau social à supprimer leur compte. Un appel qui lance de nouveau pour plusieurs raisons.
Au-delà de la primeur de la rentabilité sur tout le reste, l’entrepreneur indique également que « les réseaux ouverts ont du mal à décider ce qui est un discours de haine ou non… Apple a du mal à décider ce qui est une bonne ou une mauvaise application. Google ne discerne pas un bon d’un mauvais site. Ces entreprises ne sont pas aptes à prendre ce genre de décision ». Ils ne sont donc pas fiables selon lui puisque ces entreprises préfèrent une nouvelle fois partager les informations qui marchent sans se soucier de leur fiabilité.