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Test – Wolfenstein Cyberpilot : la chasse aux nazis en réalité virtuelleTest – Wolfenstein Cyberpilot : la chasse aux nazis en réalité virtuelle
Cette année, à côté du nouveau Wolfenstein, les fans de la série d'ID Software pourront également découvrir un premier spin-off de la franchise, qui se joue entièrement en réalité virtuelle. Une expérience de jeu qui se laisse déguster sur le PS VR ou sur PC, avec le HTC Vive. Dans les deux cas, le résultat reste très mitigé…
Toujours très populaire auprès des amateurs de FPS, la série des Wolfenstein accueille cet été deux nouveaux épisodes. A côté de Youngblood, qui suit les traces des 3 derniers Wolfenstein, on retrouve également Cyberpilot, un spin-off qui se joue entièrement en réalité virtuelle.
Surfant sur le succès du PS VR, Bethesda Softworks nous livre un jeu qui se démarque énormément de son modèle puisqu'ici, vous n'incarnerez plus un bidasse sur le champ de bataille mais un hacker qui prend le contrôle de gigantesques robots pour massacrer les forces du troisième Reich.
Mine de rien, cette approche rend le gameplay très différent puisqu'on contrôle ici la plupart du temps de gigantesques titans d'acier. Plus proche d'un jeu de mécha à la première personne que d'un FPS, Cyberpilot apparaît comme un titre plutôt fun dès les premières minutes du jeu, mais qui perd toute la nervosité de son modèle. La majorité du temps, le joueur ne sera pas vraiment inquiété par les dizaines de bidasses qui se ruent sur lui. Les autres robots qui l'attaqueront ne lui donneront pas beaucoup plus de fil à retordre. Pour peu que l'on soit mobile, on parvient à éliminer relativement facilement ses ennemis, sans encaisser trop de coups.
Il ressort de cette expérience une drôle de sensation. Certes, on est bien dans un jeu Wolfenstein, l'univers est là, le scénario reste efficace et on vient même à apprécier le principe, mais le jeu manque cruellement de piquant et de profondeur. Le fun qui s'en dégage reste également très modéré.
Trop souvent, on aura l'impression d'avancer sur des rails en massacrant à la volée des dizaines d'ennemis. Pour essayer de garder l'attention du joueur, Arkane Studios a tenté de varier un peu les séquences de jeu en ajoutant ça et là quelques petites énigmes et mini-jeux. Le mélange fonctionne, mais il n'y pas de quoi crier au génie.
C'est un fait, Cyberpilot donne la très désagréable sensation de jouer à un jeu pas assez ambitieux. Le jeu ne pouvait certes pas s'offrir un budget aussi confortable que Youngblood, mais on aurait tout de même aimé un titre à la grandeur de la franchise. On notera d'ailleurs que le jeu reprend pas mal d'assets de Youngblood et situe d'ailleurs son action également dans la ville de Paris. Inutile de le préciser, si vous envisagez de démarrer avec Youngblood, il faudra marquer une pause pour vous replonger dans Cyberpilot, sous peine de ressentir une étrange sensation de déjà vu…
C'est d'autant plus dommage que le jeu est plutôt joli, avec ses explosions massives, ses environnements qui se détruisent partiellement et ses robots titanesques. La bande sonore lui fait également honneur avec certes encore pas mal de contenus recyclés, mais des bruitages efficaces et des morceaux entraînants. Par rapport aux autres jeux VR, Wolfenstein Cyberpilot offre également une durée de vie supérieure à la moyenne, puisqu'il faudra compter entre 2h30 et 3h30 pour boucler l'aventure. Ce qui reste très honorable pour le genre. Dommage que cette virée en territoire nazi n'ait pas été plus fun…