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Pourquoi DriveNow quitte la capitale belge
Le service de car-sharing mettra un terme à ses activités à Bruxelles le 29 février 2020.
Présent depuis trois ans en Belgique, dans notre capitale, la société allemande de partage de voitures vient d’annoncer qu’elle se retirait du marché belge. Une annonce qui peut en étonner certains étant donné que DriveNow fait partie de SHARE NOW, premier fournisseur mondial sur le secteur. Le leader des services de car-sharing aurait-il du mal à s’imposer en Belgique ? C’est possible.
Dans son communiqué, DriveNow indique ne pas avoir réussi à atteindre ses objectifs dans la capitale belge. La raison serait que les Bruxellois disposant d’un véhicule propre sont trop nombreux, la demande pour le service d’autopartage serait donc insuffisante. Pourtant en 2018, le service avait annoncé vouloir se développer encore un peu plus dans la Capitale, notamment à Molenbeek et à Anderlecht. L’application revendiquait un millier de trajets par jour en moyenne dans la capitale, ce qui n’était pas suffisant pour être rentable.
Mais le manque de succès auprès des Bruxellois ne serait pas la seule cause à ce départ. En effet, à Bruxelles, on ne compte plus le nombre de services de car-sharing. La concurrence est donc rude, même pour le leader mondial. Un constat qu’avait déjà fait ZipCar en début d’année 2019 qui avait annoncé son retrait de la capitale belge. Une situation que l’on retrouve également du côté des services de partage de trottinettes électriques ; après une explosion du nombre d’acteurs sur le marché, celui-ci sature et certains quittent le navire.
Dans le cas des voitures partagées, si le succès n’est pas au rendez-vous, proposer des voitures à la location peut rapidement coûter de l’argent aux sociétés. En effet, pour lancer sa flotte de véhicules partagés, il faut investir dans un certain nombre de voitures et si la clientèle ne suit pas, l’investissement n’est pas rentable.
En 2018, la société a essuyé 2,93 millions d’euros de pertes l’année dernière, contre 3,25 millions l’année précédente, rappelle l’agence Belga. Pour être pérenne à Bruxelles, il aurait fallu au moins 60.000 clients effectuant en moyenne 4 trajets par mois à DriveNow pour sortir la tête hors de l’eau.
Si le service n’a pas rencontré le succès escompté à Bruxelles, c’est également le cas à Londres et à Florence puisque DriveNow a également annoncé qu’elle se retirait de ces deux villes européennes. « Aucune de ces trois villes ne donne de signes clairs d’une prochaine rentabilité », indique DriveNow. La société va tout de même poursuivre son activité dans les 18 autres villes européennes dans lesquelles elle est implantée.