- Batterie ordinateur
- ACER ADVENT ALCATEL AMAZON APPLE ASUS AUTEL BAOFENG BBK BENQ BFDX BLACKBERRY BLACKVIEW BLU BOSE BQ CANON CASIO CAT CHUWI CITIZEN CLEVO CMCC COMPAQ COOLPAD CUBOT DELL DJI DOOGEE DOOV DYNABOOK ECOVACS ELEPHONE ETON FANUC FUJIFILM FUJITSU GARMIN GATEWAY GE GETAC GETONG GIGABYTE GIONEE GOOGLE GOPRO HAIER HASEE HBC HILTI HISENSE HOMTOM HONEYWELL HONGJIE HONOR HP HP_COMPAQ HTC HUAWEI HYTERA IBM ICOM INFINIX INFOCUS ITEL JBL JJRC JUMPER JVC K-TOUCH KENWOOD KIRISUN KODAK KONKA KOOBEE KYOCERA LEAGOO LEICA LENOVO LG LOGITECH MAXELL MEDION MEITU MEIZU MICROMAX MICROSOFT MINDRAY MITSUBISHI MJXRIC MOTOROLA MSI NEC NETGEAR NEWLAND NIKON NOKIA OLYMPUS ONEPLUS OPPO OTHER OUKITEL PACKARD_BELL PANASONIC PARROT PAX PENTAX PHILIPS PRESTIGIO QIKU RAZER REALME RTDPART SAMSUNG SANYO SEIKO SHARK SHARP SIEMENS SONY SUNMI SYMA SYMBOL TADIRAN TCL TECNO TOPCON TOSHIBA TP-LINK TRIMBLE TWINHEAD ULEFONE UMI UMIDIGI UNIWILL UROVO VARTA VERTEX VERTU VIVO WEILI WIKO XIAOMI XINNUAN YAESU YUHUIDA ZEBRA ZTE
TOP DES VENTES
Capacité - Tension
ARTICLES RÉCENTS DU BLOG
>
Tous les articles >
Nintendo réclame plusieurs millions de dollars au propriétaire de deux sites de ROMsNintendo réclame plusieurs millions de dollars au propriétaire de deux sites de ROMs
Les sites LoveROMs.com et LoveRetro.com ont attiré l’attention de la firme nippone.
Les sites qui proposent des ROM de jeux vidéo sont légion sur internet, mais il semble que les deux sites gérés par Jacob Mathias sont passés dans le viseur de Nintendo. Selon la firme, les sites hébergent de nombreux jeux de la marque et ne payent évidemment rien.
« Les sites LoveROMs et LoveRetro font partie des plateformes en ligne les plus populaires pour les jeux vidéo piratés », explique Nintendo dans une plainte déposée dans une Cour de justice en Arizona. « Grâce à la publicité, aux dons, et à leur popularité, les deux sites ont généré d’importants revenus », continue Nintendo.
La firme ne rigole d’ailleurs pas du tout : en plus de demander la fermeture des deux sites, Nintendo demande 150.000 dollars de dommages et intérêts par jeu listé sur les sites, ainsi que jusqu’à 2 millions de dollars pour utilisation abusive de la marque. Les deux sites hébergeaient un total de 140 jeux et citaient environ 40 licences.
« Les accusés reproduisent et distribuent de nombreuses copies sans l’autorisation de Nintendo », explique la compagnie, tout en ajoutant que plus de 17 millions de visiteurs se rendaient chaque mois sur ces deux sites.
Le propriétaire des sites, Jacob Mathias, a déjà fermé le site LoveRetro après avoir pris connaissance de la plainte. L’accusé avait également retiré l’ensemble des jeux Nintendo du site LoveROMs, mais après vérification, le site a également fermé ses portes devant la pression de Nintendo.
Ce n’est pas la première fois que la firme japonaise s’attaque aux contrevenants de sa propriété intellectuelle. Il n’y a pas longtemps, Nintendo avait fait bannir des versions modifiées de Super Mario 64. On peut d’ailleurs s’attendre à ce que l’entreprise japonaise continue à lutter agressivement contre le piratage dans les prochains mois.