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Test – Moons of Madness : terreur dans l’espace
Développé par le petit studio Rock Pocket Games et édité par Funcom, Moons of Madness était parvenu à créer le buzz au moment de sa sortie sur PC. Le jeu d’horreur dans l’espace débarque aujourd’hui sur consoles, pour le plus grand bonheur des amateurs de survivals!
A côté des Resident Evil, Doom et autres Half-Life, d’autres plus petits projets voient également le jour en cette période de confinement. Joli petit succès sur PC, le sympathique Moons of Madness a aujourd’hui droit à un portage en bonne et due forme sur PS4 et Xbox One.
A mi-chemin entre un walking-simulator est un survival-horror, Moons of Madness se joue entièrement à la première personne. Le jeu démarre avec une scène d’intro très accrocheuse dans lequel le joueur doit explorer une base lunaire plongée dans le noir. Très vite, on se rend compte que le titre lorgne gentiment du côté des Half-Life, avec des interactions poussées avec les objets et une profonde immersion. Sans être terriblement effrayant, le titre parvient également à faire très vite monter la pression. Plonger dans le noir avec une simple lampe torche, il faudra être attentif pour éviter de se faire surprendre.
Si la séquence de jeu ne dure que quelques minutes, elle donne le ton. Le joueur se réveille ensuite et reprend son petit train-train quotidien. Moons of Madness parvient à séduire par son immersion dans le quotidien d’un astronaute On se sert un petit café, on lit ses mails, on mange un cookie, on enfile sa combinaison et on part en mission sur la planète rouge. Claustrophobe, le jeu use et abuse de ses cauchemars qui viennent entrecouper le petit train-train de notre héros. Si, comme nous l’avons dit, le jeu n’est pas particulièrement effrayant, il parvient à imposer une atmosphère claustrophobe très pesante. Les jump scares ont toutefois la fâcheuse tendance à être un peu trop simple puisqu’il s’agit principalement de séquences scriptées.
Et c’est finalement le plus gros reproche que l’on fera à Moons of Madness – le jeu parvient à imposer une atmosphère très lourde et se révèle très immersif, mais il manque cruellement de séquences d’action. La plupart du temps, le joueur se contentera d’explorer sa base, d’interagir avec des objets et de résoudre des énigmes. Quelques courses-poursuites sont au programme, mais le chemin à emprunter est tellement évident qu’on en vient à se demander pourquoi les créateurs n’ont pas opté pour une formule procédurale.
En bien des points, le jeu rappelle un autre projet ambitieux d’un petit studio, le bien nommé Soma, qui est toutefois beaucoup plus orienté action que Moons of Madness. Pour autant, il serait dommage de passer à côté de ce titre sur base uniquement de ses faiblesses. Car Moons of Madness est également un jeu très séduisant, avec de solides atouts. Son univers très sombre propose une expérience de jeu en isolement presque total qui rappellera à certains quelques-uns des meilleurs moments du blockbuster The Martian. Les interactions poussées, le petit quotidien du personnage et l’énorme travail des développeurs sur la bande son du jeu permettent également au joueur de se plonger presqu’entièrement dans le titre. En VR, Moons of Madness aurait sans doute été une claque formidable! Et puis bien sûr, il y a la réalisation du jeu, superbe à bien des égards. Visuellement, le jeu est très joli. Artistiquement aussi. Le seul reproche que l’on puisse lui faire, ce sont ces petits ralentissements qui viennent souvent nous tirer de notre immersion dans son univers. Malgré son côté très claustrophobe, le jeu parvient toutefois à nous surprendre au niveau de ses environnements, étonnamment variés, qui vous feront d’ailleurs régulièrement explorer la surface de Mars.