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Les 5 meilleurs jeux du mois de mars
En mars, la réalité virtuelle aura fait son show avec l’excellent Half-Life : Alyx, spin-off de la célèbre franchise de Valve qui propose pour la première fois une immersion complète dans l’univers d’Half-Life.
Half-Life Alyx (PC)
S’il ne pourra être joué que par une infime minorité de joueurs (les propriétaires d’un PC gamer ET d’un casque de réalité virtuelle hors de prix), Half-Life Alyx est une franche réussite et incontestablement le jeu que la VR attendait depuis si longtemps. Valve prouve qu’il est possible de faire un “vrai” jeu en réalité virtuelle. Long (comptez environ 12h pour en venir à bout), terriblement immersif, varié et fidèle à l’ADN de la série, Half-Life Alyx est un jeu d’aventure à la première personne qui est subjugué par l’usage de la réalité virtuelle, qui y ajoute une myriade d’interactions possibles. Côté gameplay, on retrouve le même mélange qui a fait le succès de la série avec des séquences de gunfights, de l’exploration et des énigmes. Les fans retrouveront très vite leurs marques, les petits nouveaux découvriront un jeu très séduisant qui mixe brillamment plusieurs genres et exploite parfaitement le concept de la réalité virtuelle. Une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie… Lire notre test complet.
Persona 5 Royal (PS4)
Si vous étiez passé à côté de l’excellent Persona 5, Persona 5 Royal vous donne la chance de corriger enfin votre erreur en découvrant l’un des meilleurs RPG de cette génération. Atlus ne s’est pas contenté d’un simple remaster puisque l’éditeur a revu l’intégralité du contenu du jeu, modifiant son scénario, certains de ses mécanismes et ajoutant une pléthore de contenus, parmi lesquels une nouvelle aire de jeu. Visuellement, le jeu a un peu vieilli, il est vrai mais sa direction artistique superbe lui confère une identité unique. Ses mécanismes de jeu atypiques en font un titre totalement à part, que l’on qualifierait presque de rafraichissant. Ici, le joueur incarne un étudiant qui devra voyager entre Tokyo et une dimension parallèle. C’est dans cette dernière que le héros devra combattre à l’aide de ses Persona, des êtres surpuissants qu’il est possible de capturer et de fusionner. Les combats fourmillent de bonnes idées et offrent un savant mélange d’éléments connus et nouveaux (négociations au cours de la joute, jauge d’alerte…). Et si les palaces qui composent cette dimension parallèle poussent les joueurs à y retourner sans cesse, la vie estudiantine du héros à Tokyo est du même acabit et offre son lot d’activités auxquelles il faudra participer en veillant à respecter son calendrier. Inutile de tergiverser : il s’agit d’un incontournable. Lire notre test complet.
Ori and the will of the wisps (Xbox One, PC)
Techniquement très impressionnant, Ori and the will of the wisps perfectionne la recette du premier volet. Grisant, le jeu de Moon Studios est sans aucun doute l’un des Metroidvania les plus aboutis de ces dernières années. Outre ses superbes visuels, Ori and the will of the wisps peut se vanter de disposer de l’un des gameplay les plus sophistiqués du genre. Par rapport au premier volet, le jeu gagne en nervosité. Les affrontements sont plus techniques et la tension toujours palpable. Plus accessible que son ainé, de par la présence de nombreux points de sauvegarde, le jeu n’en reste pas moins destiné à un public plutôt élitiste. Car sous ses airs de platformer très mignon, Ori and the will of the wisps reste un jeu de plates-formes et d’exploration exigeant, qui ne destine très clairement pas une audience jeune. Malgré sa durée de vie relativement courte, le nouveau jeu de Moon Studios est une jolie réussite – et incontestablement une suite très bien maîtrisée par les développeurs, qui, tout en ne changeant pas la recette du premier volet, sont parvenus à en corriger la plupart des défauts. Lire notre test complet.
Granblue Fantasy Versus (PS4)
Avec Granblue Fantasy Versus, Arc System Works nous livre un autre excellent jeu de baston en 2.5D. Visuellement superbe, le nouveau jeu des créateurs de Blazblue et Guilty Gear frappe très fort avec ses animations soignés, son gameplay nerveux et ses personnages aux styles de jeu variés. On reconnaît en lui tous les éléments d’un grand jeu de baston, de surcroit accessible grâce à sa prise en main très simple. Si on lui reprochera un contenu relativement limité avec ses 11 personnages et sa dizaine d’arènes, Granblue Fantasy Versus a le mérite de mettre en avant un roster varié et de proposer des modes de jeu très solides, avec un mode solo costaud, de la coop’ et des modes de jeu en ligne. Pas de doute, il s’agit de l’une des très bonnes surprises de ce début d’année! Lire notre test complet.
Doom Eternal (Xbox One, PS4, PC)
S’il s’écarte davantage encore de la formule de ses ancêtres, Doom Eternal a le mérite d’être un FPS d’une rare intensité, généreux en contenu et terriblement efficace durant ses séquences de gunfights. Doom Eternal n’a toutefois plus de Doom que son bestiaire. Mais la recette du fast-FPS est aujourd’hui parfaitement dosée par id Software, qui nous livre l’un des jeux de tir les plus brutaux de ces dernières années, tellement nerveux qu’il est difficile d’y jouer à la manette. On prioritisera donc de préférence la version PC, beaucoup plus aboutie. Avec sa campagne d’une quinzaine d’heures de jeu, ses nombreux collectibles et Doom 64 en bonus, Doom Eternal s’impose comme un jeu très généreux en contenu. Les fans du précédent volet s’y retrouveront très rapidement. Il n’en reste pas moins que le mélange de genres reste difficile à appréhender. Les séquences de plates-formes ont certes le mérite de nous éviter la surdose d’hémoglobine, mais ce n’est pas forcément ce que les fans de FPS recherchent dans un Doom. Si le jeu d’id Software brille dans ses gunfights, il est malheureusement loin d’être exempt de défauts. On lui reprochera notamment ses séquences de combat au corps à corps qui ne servent finalement qu’à faire le plein de munitions, le feeling des armes et certains passages du jeu – la 1ère heure de jeu notamment, qui nous a fait très peur, et le dernier tiers, dans lequel Doom Eternal ne parvient pas à se renouveler. Lire notre test complet.