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Switch : Nintendo poursuit en justice les vendeurs d’un logiciel de piratage de la consoleSwitch : Nintendo poursuit en justice les vendeurs d’un logiciel de piratage de la console
Vendredi 15 mai, Nintendo of America a déposé deux plaintes contre des revendeurs d’un logiciel destiné à la Switch. Pourquoi une telle plainte ? Parce que, comme vous vous en doutez certainement, ce logiciel permet l’exécution de jeux piratés, une pratique contre laquelle Nintendo s’est toujours insurgée.
Aux États-Unis, deux procès viennent d’être intentés par Nintendo à l’encontre de pirates de la Switch. Dans le premier cas, c’est un certain Tom Dilts Jr, le webmaster présumé du site UberChips, qui a été incriminé. Dans le second, c’est tout un groupe de hackers anonymes provenant de différents sites Web que Nintendo a assigné en justice. Tous sont accusés par les avocats de Nintendo d’avoir revendu des produits d’un groupe de hackers nommé Team Xecuter et destinés à contourner les protections de la Switch.
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Nintendo ne veut plus de hack provenant de la Team Xecuter
Selon les avocats de l’entreprise nipponne, le hack mis en place par la Team Xecuter permet de contourner les mesures de protection de la Switch, mesures qui ont été conçues par Nintendo pour protéger la console contre « la copie non autorisée ». Et le hack permet justement de les désactiver : dès lors, un utilisateur peut télécharger un système d’exploitation alternatif sur sa console et lancer des jeux piratés.
Nintendo demande 2500 dollars par « violation de trafic » dans chacun des procès intentés, ainsi qu’une injonction à arrêter définitivement leurs opérations. À l’heure actuelle, le site UberChips n’est plus accessible. En revanche, certains des autres sites pointés du doigt dans le second procès sont toujours en ligne. On y découvre par exemple qu’un kit permettant de pirater la Switch coûte un peu moins de 45 euros.
Comme le rappelle le site Polygon, ce n’est pas la première fois (et probablement pas la dernière) que Nintendo s’en prend aux pirates de tout bord. En 2018, Nintendo avait déjà déposé une plainte contre un revendeur de produits Team Xecuter. Plus récemment, en septembre dernier, le géant du jeu vidéo réclamait plus de 2 millions de dollars à un site de téléchargement illégal. Si Nintendo obtient rarement la somme demandée, l’entreprise parvient toujours à obtenir un dédommagement financier et surtout à stopper net toute activité illégale de la part des hackers et a obtenir… Jusqu’à ce que d’autres leur emboîtent le pas et reprennent de plus belle cette activité si lucrative, bien évidemment.